KROKOLA – Tablette Lait 41%, noix de coco râpée, cacao d’Amérique Latine

25 août 2024 : 

Le concept est 100% français, initié par une entrepreneuse éprise non seulement de chocolat mais qui fait de sa reconversion professionnelle l’occasion unique d’associer sa passion à son envie de contribuer à former des papilles à un chocolat éthique, vertueux tout en les accompagnant dans l’éducation et l’apprentissage des arômes. Derrière KROKOLA, dont le lancement officiel date de 2021, se cache Amélie. Et derrière Amélie « la KROKOLA » se cache un jeu de tablettes conçues comme un jeu de société, dans lequel on choisit son animal pour en découvrir l’univers. 

Le packaging – emballage cartonné recyclable pour coller aux valeurs de la maison – est ludique, son graphisme joyeux, coloré, il plait autant aux gamins qu’aux adultes, il a l’esprit facétieux et son côté bande dessinée invite à y lire les informations qui sont inscrites, à apprendre tout en jouant. Au recto, l’animal, l’intitulé de la tablette, les ingrédients (100% bio et naturels, sans additifs), leur provenance, au verso, le jeu et on peut même faire du coloriage. A l’intérieur, les tablettes, dont la prise en main est ferme (gage de qualité) se présentent sous forme de barres de dix grammes chacune (la nostalgie kit et kat ?), dont l’épaisseur est idéale, qui se séparent facilement les unes des autres, qui produisent ce petit claquement réjouissant à l’oreille. Chaque barre étant customisée par des incrustations en relief de noms d’animaux, histoire de rendre la prise en main de la barre éducative pour les plus jeunes (et d’ailleurs, pour tous) : on adore l’idée d’aller bientôt croquer dans une barre « Toucan », « Iguane », « Puma », « Ouistiti », « Jaguar », « Paresseux » et « Caïman ».

Le voyage au pays des KROKOLA, lancé tambour battant par des volatiles, guidé par un petit singe turbulent puis par un félin du continent sud-américain, se termine – nous avons manqué quelques autres escales - avec le sentiment de l’accomplissement et l’envie d’une sieste bien méritée, une barre de chocolat en main. Telle est la proposition qui est lancée par le Paresseux, au pelage mauve, au petit bidon bien rebondi, au regard attendrissant mais dont la mâchoire s’apprête à croquer, tout sourire dehors, dans du bon chocolat. Parce qu’il est bon ce chocolat : ferme à la prise en main, sa couverture est lisse, ses barres se séparent avec le « clac » qu’on adore, sa couleur est d’un joli brun et surtout, il est équilibré, tant dans son parfum, où le nez se sent caressé par des notes à la fois lactées, cacaotées et enrichies d’une noix de coco discrète en arrière-plan, que dans sa dégustation même en bouche, où son fondant et son moelleux libère la signature d’un chocolat au lait au grand cœur, peu sucré, sur lequel vient se poser, comme une plume, une noix de coco légère, éthérée dans sa longueur. Un KROKOLA paresseux qui a le goût d’un paradis perdu : celui de l’exotisme, délivré de son sucre !!!