
16 octobre 2016 :
Le voyage épicurien continue, sans déception quelles que soient ses escales. Car si les parfums de celle-ci sont discrets à ouverture du pot, la couleur de la pâte vient immédiatement éblouir les yeux. La surface du pot est lisse et satinée, son onctuosité, devinée, se confirme lorsque la petite cuillère vient en lécher la pâte avant d’y plonger goulument. Goulument, c’est l’adjectif qui convient parce qu’en bouche, les saveurs sont d’un savoureux… ! Le cacao y est, bien sûr, dominant mais se laisser volontiers adoucir par une pistache rusée et maligne, qui ne s’en laisse pas conter et qui a envie de montrer qu’elle est présente, qui se distingue au palais et qui se prolonge en arrière-bouche. Bref, une dégustation totalement fondante !