Sucre, beurre de cacao, lait entier en poudre, pâte de cacao, biscuits émiettés 12 % (farine de blé, sucre, matière grasse de lait anhydre, graisse végétale, sucre de lait, protéines de lait, sel, farine d’orge de malt, poudre à lever (bicarbonate de sodium), raisins secs 8 %, fudge 6% (sucre, sirop de glucose, lait concentré sucré, huile végétale raffinée, beurre (lait), émulsifiant E322 (lécithine de soja), arôme vanille naturelle, sel.), émulsifiant E322 (lécithine de soja), arôme vanille naturelle
Le chocolat au lait contient 33% de cacao minimum et des matières solides de lait 22%
19 novembre 2018 :
« Nom-nom-nom fudgificated crunch and juicy raisins wrapped with milk chocolate Belgian chocolate with biscuit, raisins and fudge » : QUESACO ?
Ne pas se formaliser de la traduction littérale en français apportée à une tablette GNAW importée d’Angleterre, désormais vendue en bonne et due forme (son intitulé compris) par les « frenchies » Gnaw. Car non, il ne s’agit a priori pas de chocolat blanc mais bien d’un chocolat au lait lait que l’artisan chocolatier a voulu agrémenter. Il n’est pas blanc crémeux comme tout chocolat blanc l’est (en principe), il arbore la belle couleur, attrayante et maternelle, d’un chocolat au lait de qualité, il n’a que peu de parfum, tout au plus une trace lactée évaporée. Son épaisseur ne fait pas défaut, la signature de toutes les tablettes proposées par la marque. Ses carrés sont dodus et appétissants, ils n’incitent pas à la modération quant à leur découverte gustative. Fermes, croquants, truffés de pleins de petits trucs difficiles à cerner pour la première fournée : c’est en longueur de palais que le jus de la fraise, diffusé par les morceaux malaxés, prend son essor et que les sens en déduisent que c’est le biscuit – incrusté dans le chocolat - et les raisins secs qui donnent son croquant à celui-ci.
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