PAPA OUTANG - Tartine à l'essai
PAPA OUTANG - Le sachet
PAPA OUTANG - La texture sèche
PAPA OUTANG - La texture finale
PAPA OUTANG - La cuillère finale
Poids
10g/200g
Composition

Noisettes* 48%, sucre complet*, cacao*

*issus de l’agriculture biologique

25 juillet 2022 :

Loïc et Thibaut, les deux concepteurs de cette pâte à tartiner TRES utile à la planète, à faire (presque) soi-même, passent à la vitesse supérieure : un référencement en grande distribution. Cette nouvelle étape, qui n’entame en rien leur volonté de préserver l’environnement, rendent indispensables d’autres approches logistiques et commerciales. L’époque des sachets sympas est révolue. S’y substitueront prochainement des pots recyclables, rechargeables, pour une recette encore tenue secrète, laquelle, à n’en pas douter, aussi délicieuse que la première.

Voici donc l’occasion d’un dernier round d’honneur pour ces kits collector, qui ont marqué les débuts d’une aventure soutenue par un certain Monsieur Bovetti, rien que lui !  Prendre en main, palper, caresser le sachet, ça donne le sourire. Le regarder, ça rend encore plus heureux : le packaging est ludique, graphique, animé par un orang-outang jovial qui évolue façon bande dessinée sur un fond vert sapin – sa forêt luxuriante. Bref, le sachet fait, à lui tout seul, le job pour faire saliver et donner envie de voir ce qu’il a dans le ventre !

Les frileux, les anxieux, ceux qui ont peur du ratage peuvent passer par l’étape de la tartine d’essai : ce minuscule sachet fournit environ 10 grammes de pâte à tartiner. Il est à peine suffisant pour une vraie tartine mais la passerelle idéale pour ne pas s’arrêter en si bon chemin. Les papilles sont émoustillées par cette petite cuillère de pâte et impatientes d’en connaître davantage ! Finalement, non seulement le mode d’emploi du vrai gros sachet n’est pas compliqué mais en plus, on peut imaginer toutes les variantes qu’on veut côté liquide à rajouter à la mixture, tant que les proportions sont respectés pour éviter le plâtre ou la dissolution totale.

La poudre qui s’écoule du sachet est granuleuse, morcelée, cristallisée par endroits. Elle s’affiche fièrement rousse, flamboyante, avec des reflets dorés. Cette teinte chaleureuse se transforme de manière étonnante en un ébène ténébreux dès lors qu’on y verse la quantité de liquide préconisée.

Pour le compte-rendu présent et pour garder une certaine objectivité, précisons que nous utilisons uniquement de l’eau (restons austères…).

Après les quelques secondes réglementaires passées au micro-ondes, la poudre se fait pâteuse, un peu plus épaisse, encore liquide, encore fuyante. Tiède, elle fait rejaillir aux narines un parfum de brownie ou de moelleux au chocolat. Miam ! Après quelques coups légers de cuillère, la matière prend alors du croustillant. En bouche, l’odeur plus qu’alléchante de chocolat fondu vient accentuer le rendu : du moelleux donc, du croustillant donc, pour des saveurs qui s’interprètent différemment selon la température de la matière. Encore tièdes, les arômes sont clairement cacaotés mais grevés d’un sucre de canne dominant. Refroidie, la pâte trouve son harmonie entre une noisette qui fait tinter sa note torréfiée, un cacao subtilement corsé et le sucre qui, là encore, cherche à s’imposer et dégrade les flaveurs dans leur longueur.

En conclusion : Papa Outang première version, c’est un Frisson de plaisir procuré autant par la manipulation du sachet et le fait de mettre soi-même, un peu quand même, la main à la pâte, que par ce goût d’enfance qui régalent les papilles. On s’en lèche les babines !

Vivement la nouvelle mouture qui doit débarquer devant nos cuillères impatientes à la rentrée prochaine !!!

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