Noisettes (29%), sucre, huile de tournesol, lactose (lait), éclats de noisettes grillées (8.9%), cacao maigre en poudre (4,7%), beurre de cacao, huile de coco, huile de karité, sel, émulsifiant : lécithines de tournesol
23 septembre 2020 :
Plus addictive que cette GÜ-là, tu meurs !!!
Parce qu’elle ne fait pas dans la dentelle, niveau gourmandise. Sitôt dénudée de son opercule doré protecteur, son parfum torréfié et grillé de noisettes surgit de pot et part à l’assaut du nez. Entre cette fragrance et cette très belle couche d’éclats de noisettes écrues, qui tapisse la surface de la pâte à tartiner, les sens sont aux abois, on salive. Sa texture donne le frisson par le contraste provoqué par le croustillant des éclats de fruits secs, traversé par une petite cuillère qui plonge juste après dans un bain de velours, celui d’une pâte à la noisette à la consistance moelleuse, fondante et voluptueuse. Impossible de s’arrêter à cette pré-dégustation qui manifeste clairement son objectif : pousser à la régression primaire. En bouche, les saveurs n’ont pas, à proprement parler, de caractère original et spécifique ; trop saturées en sucre, les noisettes n’y ont pas suffisamment de place pour s’exprimer et le cacao n’obtient qu’un rôle de faire-valoir. Néanmoins, le mélange saisissant entre textures granuleuses et fondantes qui fait la force de frappe de cette pâte, avec une allonge ponctuée de notes qu’on dirait presque caramélisées.
La voici sur la place n°1 du podium, suivie par sa dauphine au caramel salé et au cacao puis par la pâte à la noisette et au cacao.
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