GU - Pâte à tartiner caramel salé & cacao
GU - Pâte à tartiner caramel salé & cacao
Poids
200 grammes
Composition

Sucre, huile de tournesol, lait entier en poudre 9,9%, beurre de cacao, préparation de poudre lactée et sucrée caramélisée 5% (lactosérum en poudre (lait), beurre (lait), maltodextrine, sucre, lait écrémé en poudre), cacao maigre en poudre 4%, pâte de cacao 2,5%, huile de coco, sucre caramélisé en poudre 1,5% (sirop de sucre caramélisé, maltodextrine), émulsifiants : lécithines de tournesol, sel de mer 0,35%

24 novembre 2019 :

S’il est(encore)  possible de résister au pouvoir tentateur des produits anglais GÜ, habilement mis en valeur dans les rayons frais des supermarchés, plus aucun prétexte désormais : pour les pâtes à tartiner, cela devient mission impossible !

Le premier pot, pardon, le premier pas est franchi avec la version Caramel Salé & Cacao (puisque la pâte à tartiner se décline désormais en mode cacao et en mode noisette).

L’effet séduction joue à plein, d’abord sur le plan visuel. Le pot de verre de 200 grammes est recouvert d’un couvercle plastique puis d’un opercule d’aluminium qui garantit l’intégrité de la pâte. Rien à dire  sur la présentation du produit, un modèle marketing à suivre. Le fond noir de l’étiquette met en lumière le logo ainsi que le dessin, très graphique et suggestif d’un plaisir gourmand à venir.

L’opercule étant déchiré, il y a matière à plonger avec délectation son regard d’abord sur la pâte, dont la couleur marron est chaleureuse et claire et dont la surface, lisse et à peine dégradée par quelques minuscules bulles, offre également quelques renflements qui font saliver. Le nez sera quelque peu frustré par l’absence de tout parfum. C’est au tour de la texture de faire éclater un étonnement tactile complètement jouissif : elle est plus qu’onctueuse, elle est fluide, souple, élastique, la cuillère s’enfonce dans cette pâte comme dans du beurre ! C’est d’ailleurs pile à ce moment-là qu’enfin, des effluves timides de sucre caramélisé s’échappent du pot pour venir chatouiller les narines.

L’enthousiasme de l’avant-dégustation est tiédi par une entrée en bouche quelque peu anesthésiée par le sucre, qui couvre tout autre arôme, y compris celui du cacao. Le caramel n’allume – vraiment - les sens qu’en toute fin de gorge, après déglutition et parce que la pointe de sel en prolonge la longueur gustative.

 

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