2 février 2013 :
Plonger sa cuillère dans cette pâte à tartiner est tout simplement sans qualificatif possible. Ce n’est pas la première fois, ce ne sera sans doute pas la dernière, car sa saveur et sa texture sont autant d’éléments qui en rendent totalement dépendant. Un goût de « reviens-y » qui ne se dément pas et qui s’affine au fil des pots que l’on entame avec respect et délectation. Les techniques s’affinent : on ne prend pas n’importe quelle cuillère pour s’y tremper les lèvres, mais la cuillère à café, la plus petite qui soit, qui permet de multiplier les lichettes, de les poser sur le bout de la langue et d’attendre que le chocolat noir développe tous ses arômes. Et le fait qu’il s’agisse d’un noir sucré et non du noir des puristes n’y change rien, au contraire !!!! A comparaison égale – ou pas – je dirai que le Côte d’Or Noir de Noir est la Rolls Royce du Nutella : il en est son adulte quand le Nutella est, de son côté, totalement régressif. Pour une jouissance toutefois identique pour les deux pâtes !
28 octobre 2013 :
L'avis ne change pas. Mais, incompréhensiblement, le fond du pot a perdu tout son fondant et son onctuosité, les dernières cuillères ne tirent qu'une substance granuleuse, émiettée : le Côte d'Or en pâte à tartiner est devenue une poudre chocolatée Côte d'Or. Enquête à suivre ?
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