Pralin 31%* (dont noisettes 50%*), lait de chèvre 22%* (origine France), châtaigne 20%*, sucre de canne blond*, chocolat 7%*
1er juillet 2022 :
Ils ont tout bon chez AMALTUP.
Ils ont tout bon, déjà, pour les valeurs que la société tourangelle développe depuis 2018 en faisant la promotion d’une filière caprine française capable de satisfaire le consommateur français tout en étant vertueuse, ce qui commence par le bien-être animal, la recherche de solution anti-gaspillage et une transition accrue vers le bio.
Ils ont tout bon, aussi, par la conception de leurs produits, dont les packagings et les visuels sont ludiques et attractifs. Et personne n’est oublié : les becs sucrés vont trouver de quoi satisfaire à leur gourmandise à la petite cuillère. Le voyage dans le monde de la tartine commencera par une pâte à tartiner… à faire fondre de bonheur !
Ce petit pot, on n’arrête pas de le manipuler entre les doigts, en l’inspectant du regard, en posant les yeux sur son étiquette, son fond noir sur lequel se détachent un logo, une chèvre graphique et bien malicieuse et tout ce qu’il faut pour faire immédiatement comprendre ce que renferme le pot : un grand verre de lait, quelques fruits secs…
Tout à coup, la dégustation visuelle cesse et on déclipse avec impatience le couvercle du pot, pour y faire de savoureuses, voire plutôt étonnantes vu que la dégustation se réalise à l’aveugle, découvertes : une surface irrégulière proche de l’apparence d’une crème de marrons, une teinte nuancée qui tire sur l’auburn, le cuivré ou le marron clair en fonction de la luminosité environnante. Le parfum est progressif : discret dans un premier temps ; investi de notes lactées et fraîches insistantes par la suite. La consistance de la pâte est très légère, proche de celle d’une mousse ou d’une crème de marron.
En bouche, une autre surprise plus qu’agréable : la pâte est fondante et ses saveurs fonctionnent à l’unisson et en belle harmonie. La noisette grillée et sucrée (autrement dit le pralin), se marie merveilleusement bien avec une ligne lactée à la fois suave et acidulée (on croirait y détecter des traces fugaces de lait caillé). Le goût est rassurant et, une nouvelle fois, c’est celui de la crème de marron. Forcément, les papilles seront satisfaites d’apprendre, après lecture des ingrédients utilisés pour la recette, que la châtaigne y est bien présente. Une châtaigne qui émoustille tous les sens de bout en bout, en apportant toute sa rondeur, sa douceur et son goût d’enfance !
Petit conseil pour les gourmands : ne pas hésiter à déguster la pâte à température ambiante puis sortie du réfrigérateur. Dans le premier cas, ils y trouveront la légèreté, la souplesse et le caractère maternel de la châtaigne. Dans le second cas, ils s’offriront un joli moment de mâche et de densité en bouche, d’arômes lactés exhaustés par le sucre et arrondis par la châtaigne. Dans les deux cas, et même s’il est préconisé par l’équipe d’AMALTUP de conserver le produit au frais, cette suggestion est plutôt inutile : le pot est sitôt ouvert qu’il est presque sitôt englouti !!!
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