

Chocolat-Noisettes
Praliné Fruité Noisettes Valrhona (noisettes d’Italie 55 %, sucre) 43 %; gianduja noisettes Valrhona (noisettes d’Italie 35 %, sucre, lait entier en poudre, beurre de cacao, fèves de cacao, extrait de vanille), satilia noire Valrhona (fèves de cacao, sucre, beurre de cacao, émulsifiant : lécithine de soja), extrait de naturel de vanille, huile de pépins de raisin, poudre de cacao Valrhona 2,4 %, beurre de baratte demi-sel (beurre doux 97,2 %, sel 2,8%)h
Fabriqué dans un atelier utilisant du sésame, lait, fruits à coque
Chocolat Praliné Craquant
Gianduja Noisettes Valrhona (noisettes d’Italie 35 %, sucre, lait entier en poudre, beurre de cacao, fèves de cacao, extrait de vanille), praliné Fruité Noisettes Valrhona (noisettes d’Italie 55 %, sucre) 28 %, praliné amandes noisettes Valrhona (noisettes 35 %, amandes 25%, émulsifiant : lécithine de soja, extrait naturel de vanille, 14 %, cœur de Guanaja Valrhona (fèves de cacao, sucre, émulsifiant : lécithine de soja), extrait naturel de vanille, huile de pépins de raisin, poudre de cacao Valrhona 3,5 %, beurre demi-sel (beurre doux 97,2 %, sel 2,8%)
Fabriqué dans un atelier utilisant du sésame, lait, fruits à coque
22 septembre 2025 :
Si la spécialité-maison reste, bien sûr, le caramel, deux pâtes à tartiner sont proposées, avec un packaging toujours soigné et ce fameux logo graphique et contemporain qui suggère l’embrun, l’éclaboussure, la vague, pour étoffer les gammes.
En dehors des nuances affichées par leurs robes respectives, l’une à la couleur châtain et l’autre virant sur le cuivrées, elles sont quasiment sœurs jumelles dans leurs caractéristiques respectives. Leur surface est lisse et satinée, leur parfum discret à ouverture des pots, relayé principalement par des notes lactées, lesquelles sont suivies en arrière-plan de la noisette. Leur consistance est dense, voire résistante face à l’engouement de la petite cuillère, une fermeté qui se révèle pour autant suffisamment onctueuse par la suite pour s’attirer les papilles les plus gourmandes.
En bouche, elles sont toutes deux fondantes, fibreuses puis veloutées, avec un effet légèrement beurré. La pellicule grasse vient tapisser le palais pour permettre à des arômes d’abord lactés puis rattrapés par un côté grillé de se déployer, le cacao ne se révélant qu’en arrière-gorge et en déglutition. Le sucre vient orchestrer et moduler leurs partitions respectives, pour des longueurs suaves et rassurantes.
Un petit bémol : le craquant prévu pour la seconde pâte à tartiner manque un peu à l’appel.
Les deux pâtes à tartiner sont agréables à déguster mais manquent de personnalité. L’artisan breton, qui fait appel pour les ingrédients utilisés à la confection, au couverturier français de renommée internationale Valrhona, montre clairement et en toute transparence qu’il ne s’agit pas là de son cœur de métier.