Sugar, cocoa butter, powdered cream, raisins (contains sulfur dioxide (preservative), roasted hazelnuts, powered whole milk, soy lecithin & plyglycerolate (emulsifiers), natural vanilla flavoring
Sucre, beurre de cacao, crème en poudre, raisins (avec conservateur, le dioxyde de sulfate), noisettes grillées, lait entier en poudre, émulsifiants (lécithine de soja et glycérate, arôme naturel de vanille.
10 août 2019 :
Une tablette bien épaisse, à la couleur chocolatée propice à faire saliver. Décomposée en quatre barres de trois carrés chacune, la tablette souffre manifestement de la chaleur ambiante : elle manque de fermeté lorsqu’on la dénude de son emballage et de son étui aluminium protecteur. Les carrés ne cassent pas mais se détachent les uns des autres avec mollesse, sans le claquement net attendu. Leur épaisseur offre à la vue quelques éclats épars et rares d’un fruit à coque, disséminés avec parcimonie dans le chocolat. Aucun parfum caractéristique ne vient émoustiller le nez et, en bouche, depuis l’amorce jusqu’à la déglutition finale, aucune saveur ne s’impose. La tablette est neutre et transparente. Aucun goût ne s’en détache lorsque le chocolat fond au palais ; pas même celui, en principe douceâtre et très légèrement mielleux, du raisin sec. Le chocolat est juste sucré. Les sensations sont quelconques et éphémères, sans longueur. La tablette n’est ni bonne ni mauvaise, elle sert juste de faire-valoir et d’en-cas réconfortant, à défaut d’autre chose. En tous les cas, ce ne sera pas Alyonka la préférée des gourmets.
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