chocolat au lait 50% (édulcorant : maltitlol ; beurre de cacao ; LAIT entier en poudre ; liqueur de cacao ; émulsifiant : lécithine de soja ; arôme naturel de vanille), pâte d’arachide 29%, concentré de protéines de lactosérum (LAIT), graisses végétales (karité, noix de coco), LAIT entier en poudre, édulcorant : maltitol, émulsifiant : lécithine de soja, sel.
Chocolat au lait : pâte de cacao minimum 33,9%
Poids du lait minimum 20,5%
Peut contenir d’autres fruits à coque
31 mars 2024 :
La liste des ingrédients utilisés est longue, comme pour toutes les gammes déclinées par cette société polonaise spécialisée dans l’alimentaire nutritif dédié notamment aux sportifs Cela pose question, notamment pour l’édulcorant et pour les matières grasses.
Côté marketing, le packaging est efficace et l’ambition affichée : apporter de l’énergie au corps tout en se faisant plaisir. Le sachet cartonné est léger à la prise en main et sa conception graphique appétissante : la praline traditionnelle belge s’y affiche, entière ou coupée, avec la cacahuète et sa coque, le tout sur un fond orange flashy. A l’ouverture du paquet, on y découvre… des gourmandises mystérieuses empaquetées telles des papillotes dans des feuilles argentées. On les dénude, on apprécie forcément ce délicieux petit bruit de papier froissé, papier qui fait place à une petite praline en forme de dôme, à la couleur chocolatée classique, ferme à la prise en main, qui ne s’émiette pas, qui se tranche de manière nette. Son fourrage est dense, ocre, condensé, protégée par une couverture de chocolat dont l’épaisseur est bien ajustée.
En revanche, côté gustatif pur, on reste sur sa faim : son parfum – l’arachide en note de tête – reste discret. Le croquant de la couverture, suivi de son fourrage fondant sont gourmands mais malheureusement contrebalancés par une saveur fade. Les arômes de la cacahuète et du chocolat sont tamisés par le lait, pour une arrière gorge sèche voire astringente.
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