BOVETTI - Pâte à tartiner Rocher Chocolat Noir 200 grammes
Purée et éclats de NOISETTES* grillées (provenance Italie) 27%, sucre de canne roux non raffiné*, huile de colza*, chocolat noir* (cacao 73% minimum, masse de cacao* 18% - provenance Saint-Domingue, sucre de canne non raffiné*, beurre de cacao*, poudre de vanille* (Madagascar)), cacao en poudre* (provenance Saint-Domingue)
Peut contenir d’autres fruits à coque, du lait et du soja
*issus de l’Agriculture Biologique
Cacao, sucre et vanille cultivés et commercialisés conformément aux standards du commerce équitable Fairtrade Max Havelaar : 48% du poids total
Cacao et sucre : le bilan de masse est utilisé pour correspondre au volume acheté aux conditions Fairtrade Max Havelaar.
BOVETTI - Pâte à tartiner Rocher Chocolat Lait 200 grammes
Chocolat au lait* (cacao 39% minimum) 29% sucre de canne non raffiné*, beurre de cacao*, poudre de LAIT entier* (provenance UE), masse de cacao* (provenance St-Domingue), poudre de vanille* (Madagascar)), purée et éclats de NOISETTES* grillées (provenance Italie) 27%, sucre de canne roux non raffiné*, huile de colza*
Peut contenir d’autres fruits à coque et du soja
*issus de l’agriculture biologique
Cacao, sucre et vanille cultivés et commercialisés conformément aux standards du commerce équitable Fairtrade Max Havelaar : 48% du poids total
Cacao et sucre : le bilan de masse est utilisé pour correspondre au volume acheté aux conditions Fairtrade Max Havelaar.
13 juin 2023 :
Fermez les yeux et croquez (craquez) pour les Rochers à tartiner !
La régression est totale, avec une pointe agaçante de frustration : les éclats de noisette, grossièrement concassés de manière à leur conserver du volume et de la matière, ont quasiment tous migré vers la surface des deux pâtes et ne sont pas suffisamment nombreux pour que ça croustille à cœur.
Mais plaisir et frissons restent totalement intacts !
Forcément, on ne tâte pas une pâte à tartiner comme on saisit un rocher avec les doigts, pour en apprécier les rondeurs, l’épaisseur et les irrégularités délicieuses de la couverture, les petits morceaux de fruits à coque transpercent en surface, ils font saliver. De plus, le froissement de la surface lorsque la petite cuillère la fend met en émoi – on entendrait presque le crissement ou le craquement. Le parfum de praliné s’insinue dans les narines, super réjouissant, d’autant plus qu’il s’accompagne d’une tonalité de cacao fruité pour la version noire alors qu’il joue la tendresse réconfortante pour la version chocolat au lait.
En bouche, le festival est addictif !
Côté Rocher noir, du fondant, du moelleux, de l’épaisseur, de l’onctuosité, du croquant, du croustillant. Des notes grillées enrobées d’une couverture généreuse de cacao plutôt fruité, intense sans verser dans l’amertume, avec un sucre bien dosé qu’on eût peut-être aimé moindre. Effet Rocher praliné 100% garanti : mâche, croquant et fondant sont au rendez-vous, pour une longueur qui fait plonger en enfance.
Côté Rocher lait, la matière est veloutée, onctueuse, elle fond sur la langue, se répand au palais, pour des papilles émoustillées par un éphémère croquant sous les dents, les éclats de noisette étant finalement peu nombreux. La pâte est d’une rondeur absolue, presque liquoreuse, elle déborde de suavité, exhaustée par un sucre dominant, même si l’ensemble est adouci par la ligne lactée et modulé par la pointe grillée de la noisette qui parvient à se frayer un chemin rétro-nasal. Pour une longueur qui fait basculer l’amateur dans le monde de l’enfance !
Alors, noir ou au lait, le Rocher ?
Qu’importe, pourvu qu’on ait la tartine, la cuillère et la gourmandise +++ !
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