Sucre, cacao fortement dégraissé en poudre 17%, huiles végétales (tournesol, carthame et riz en proportions variables), noisettes, graisses végétales (coco, cacao et tournesol en proportions variables), lait écrémé en poudre, beurre de cacao, amandes, émulsifiant : lécithine (soja), vanille en poudre
Le 17 août 2016 :
La Maison n’a pas joué sur l’esthétisme, plutôt classique et sans attrait, à moins d’être un touriste aiguillé par un guide et attiré par les petites touches dorées de l’étiquette. En revanche, elle n’a pas lésiné sur son savoir-faire pour que toute dégustation soit un grand moment de plaisir. Les parfums sont riches, odorants et prononcés. La couleur de la pâte est d’un très beau foncé, un marron qui tire sur le noir. La surface de la pâte est satinée et d’un lissage parfait, on hésite même à en troubler l’harmonie en l’effleurant du bout de sa petite cuillère. Passée cette hésitation… la texture de la pâte est d’une onctuosité bien équilibrée, dense et unie, les bouchées s’enroulent délicieusement autour de la petite cuillère. La pâte est fluide tout en étant accrocheuse. En bouche, la sensation de fondant est… confondante. Les saveurs prennent une amplitude irrésistiblement cacaotée. L’intensité annoncée n’est pas feinte ! Angelina offre un monde de pur chocolat, qui, par son caractère, tient au palais et en longueur et qui ne peut que ravir les amateurs de sensations fortes.
20 mars 2021 :
Un retour aux sources pour des papilles qui, depuis 2016, ont voyagé, découvert, se sont affûtées et affinées.
Elles montrent une jolie fidélité à cette pâte à tartiner à la couleur ébène, à la surface satinée, à la texture veloutée, moelleuse et fondante à souhait, à ses saveurs qui embaument le nez et ces arômes de chocolat plutôt puissant qui viennent tapisser le palais.
La pâte à tartiner Angelina : un pousse-au-crime historique et de luxe.
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