SUCRE SALE DE LOUISE - Pâte à tattiner chocolat
Poids
200 grammes
Composition

Noisettes, sucre de canne*, sucre glace*, poudre de lait*, poudre de cacao*, huile de colza*, fleur de sel

*Ingrédients issus de l’Agriculture Biologique

20 janvier 2019 :

La simplicité : c’est, sans nul doute, ce qui pousse ce petit artisan local à créer et offrir à ces clients, fidèles et/ou de passage, des recettes maison, sans chichi mais néanmoins certifiées « Agriculture Biologique ». La maison de Louise n’a pas forcément pignon sur rue, non ; la preuve en est qu’elle n’a pas de vitrine officielle sur le net. C’est tant mieux : le hasard fait que l’on détecte parfois, alors que l’on ne s’y attend pas, des trouvailles à s’en lécher les babines. Alors, cette pâte à tartiner ?

Une signalétique à la fois sobre et ludique : son étiquette joue la carte de l’enfance avec la photo d’une gamine tout sourire arborant un tee-shirt floqué, le tout étant incrusté sur fond d’un bleu doux. Le regard est, ensuite, attiré par ce qu’il voit au travers du petit pot de verre et, notamment, par cette étonnante couche de sucre glace qui tapisse, cristallisé, la surface de la pâte. Comme un pierrier, ou un glacier miniature. A l’ouverture du pot, le nez est titillé par un parfum de noisette encore emprunté et timide, déjà sucré. Sans chercher d’autres solutions que celle suggérée sur l’étiquette, on réchauffe quelques secondes le pot à la chaleur, histoire d’amollir le sucre et de pouvoir touiller et d’apprécier de la texture et de la consistance de la pâte à leur juste valeur. Celle-ci se révèle alors granuleuse, accrocheuse sans être trop épaisse néanmoins : un porridge. Elle offre immédiatement la sensation de réconfort, une sensation qui va s’amplifier à la dégustation, ce d’autant plus qu’avec le rééquilibrage des ingrédients, des effluves parfumées de noisettes s’envolent enfin ! La surface de la pâte est mate, sa couleur d’un brun clair, sans reflets. Ses saveurs sont, peut-être, trop sucrées, ce qui asphyxie un peu la note torréfiée des noisettes. Mais celles-ci se rattrapent en puissance grâce, justement, à cette torréfaction qui laisse des petits éclats de noisettes dans la pâte, pour lui donner du croustillant tout en maintenant son fondant et son caractère coulant (merci le réchauffage). Le temps d’une cuillère, le temps d’une bouchée, et même sans tartine, on replonge dans l’allégresse, dans l’enfance, on ne pense plus à rien qu’à ce goût inimitable d’une vraie pâte à tartiner à la noisette ! Nez, Yeux, Papilles mais aussi sens tactiles, tous lancent un grand « MIAM » venu du cœur !

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