Sucre, graisses végétales (huiles de tournesol, grignon d’olives, carthame et beurre de cacao), lait écrémé en poudre 5 %, pâte de noisettes 10%, biscuit finement émietté 5% (farine de blé, sucre, matières grasses laitières anhydre, sucre du lait, protéines de lait, sel, extrait de malt (orge), poudre à lever, bicarbonate de sodium), cacao maigre en poudre, émulsifiant (lécithine de soja)
21 octobre 2019 :
Elle n’apparait plus sur le site du fabricant de chocolat français et n’est plus en vente en ligne. A peine quelques lignes pour la Chandeleur 2017 sur la page Facebook et pffff… plus de pâte !
Minutieusement décortiquée et analysée, sa composition est extrêmement proche, mais moins fournie en pâte de noisettes de quelques autres pâtes d’autres marques. Un hasard ?
Restera donc les sensations éprouvées à sa dégustation : on a connu mieux mais on a aussi connu pire. En fait, il n’y a rien de spécial à signaler. Elle est conforme aux attentes : elle sent bon, son parfum est gorgé de sucre. Sa couleur est d’un brun clair lumineux. Sa surface est lisse et brillante. Sa texture est onctueuse et voluptueuse, obturée de quelques agglomérats qui signent la présence d’un biscuit concassé. Ses saveurs, qui sont à la peine face au sucre et au gras, sont néanmoins rééquilibrées par le croustillant de la feuilletine. Elles parviennent par ce biais à faire entendre des notes très éphémères de noisettes, des dièses allongées de lait et des croches incisives de chocolat. L’instant en bouche ravit forcément mais il ne dure pas vraiment !