Et si mon Groquik, celui qui a bercé mon enfance en m’apportant mon chocolat chaud pour le petit-déjeuner en en me faisant ses clins d’œil lorsque j’engouffrais mes tartines, n’est toujours pas ressuscité, je lui rend hommage en goûtant à une recette qu’il aurait certainement aimé goulûment : la pâte à tartiner. Une pâte à part parce qu’elle s’offre en barquette, au rayon frais. Parce qu’elle est colorée et joyeuse et donnera envie à tous, les petits comme les nostalgiques des années 70 et 80. Parce que sa texture en est légère, gélatineuse et ferme comme le Dany d’une marque concurrente, qu’elle ne se délite pas dans la cuillère. Parce que sa couleur est elle de la poudre de chocolat. Parce que son odeur est sucrée et lactée. Et parce qu’on n’explique pas autrement la sensation de joie qu’en lançant un « parce que c’est Nesquik, parce que c’est moi ».
Alors bien sûr, question saveur, la pâte à tartiner Nesquik ne fait pas de miracle… Du lait, du sucre en grande quantité, un peu de poudre de cacao, des matières grasses et des additifs en grand nombre aussi. Cela ne fera néanmoins pas peur à tous ceux qui osent les plaisirs régressifs sans se soucier des étiquettes. Parce que Nesquik, c’est une longue histoire d’amour. Nesquik, ON EN A UNE ENORME ENVIE !!!!
Et enfin, parce que… la lutte continue pour le retour triomphal de Groquik parmi nous !!!!