Poids
195 grammes

13 juillet 2014 :

Emballage séducteur au possible sur le plan visuel. La séduction se poursuit au déballage, le produit étant consistant et d’une apparence qui ne peut que faire saliver et réveiller la gourmandise. La couverture de chocolat est à l’image d’un coffre au trésor entrouvert : elle laisse, outre l’effluve de chocolat qui s’en dégage légèrement entrapercevoir un appétissant contenu, un bout d’amande par-ci, un éclat de noisette par là, le tout étant lié par une très fine nappe grumeleuse de myrtilles. A l’assaut de ce coffre au trésor riche en sensations visuelles et olfactives !

Le premier carré, grigoté méticuleusement,  petit bout par petit bout, est passablement décevant, car l'on n'y sent ni les arômes de baies ni l'amertume des oléagineux, qui croustillent cependant délicatement sous la dent.

Il faut mordre pleinement dans le deuxième carré, en le mettant intégralement en bouche, pour saisir les effets de ce mélange si prometteur. Cette fois, l'acidité douceâtre de la myrtille  se fraie un chemin jusqu'au palais et farandole avec l'amande, la noisette et le chocolat noir, qui reste discret (54% de cacao).

L'affaire reste donc à suivre...

Les deux carrés suivants sont consommés de façon identique : plongés immédiatement en bouche et immédiatement croqués pour que les saveurs en soient délivrées rapidement.

Changement de méthode pour les carrés suivants et jusqu'à expiration de la tablette : tous deux sont mis, l'un à la suite de l'autre, totalement en bouche mais je les laisse fondre sans croquer. La saveur du chocolat est, cette fois, pleine et savoureuse, plus proche de celle d'un chocolat au lait que du chocolat noir, ce qui est cohérent compte tenu de son pourcentage en beurre de cacao (54%). En revanche, au fur et à mesure de sa fonte, la myrtille éclabousse le chocolat d'une tonalité acidulée, tonifiée par la légère amertume et le croquant d'un bout d'amande et d'un bout de noisette.

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