sucre, beurre de cacao, pâte de cacao, lait entier en poudre, noisettes, graisses végétales (palme, karité), crème en poudre, amandes, lactose, babeurre en poudre, produit à base de lactosérum, graisse butyrique (lait), cacao maigre, lait écrémé en poudre, dextrose, émulsifiant: lécithines (soja), fructose, café, sirop de glucose, sirop de sucre inverti, arômes, sel.
Chocolat au lait aux amandes et aux noisettes, cacao: 32% minimum dans le chocolat au lait.
Chocolat amer à la crème, cacao: 45% minimum dans le chocolat.
Chocolat fourré à la mousse au cacao, cacao: 50% minimum dans le chocolat.
Chocolat au lait fourré noisettes, cacao: 32% minimum dans le chocolat au lait. Chocolat à la crème, cacao: 32% minimum dans le chocolat au lait.
31 juillet 2022 :
Si les coffrets sont élégants dans leur présentation et si les chocolats y sont protégés comme dans un écrin, leur dégustation laisse néanmoins sur la réserve. Quoique d’un packaging plus efficace que réellement raffiné, aucun des chocolats goûtés n’affiche de parfum qui, en principe, permet d’émoustiller les sens. Leur couleur brune, toute en nuance entre le châtain sombre et le châtain clair, est jolie. Les chocolats sont fermes en main, leur couverture épaisse et leurs deux parties se séparent avec netteté, néanmoins sans ce petit « clac » qui permet d’attiser l’appétit. La couverture de chocolat est croquante, certes, elle craque délicieusement sous les dents, pour laisser la place à des fourrages, les uns crémeux, les autres délicatement croustillants, parfois lactés pour les uns, à peine torréfiés pour ceux qui sont enrichis de fruits secs. Malheureusement, les textures ne font pas le goût et, côté saveur, tout est plutôt fade.
Des chocolats industriels ni plus ni moins.