LES BRIQUES DU CAPITOLE ®
LES BRIQUES DU CAPITOLE ® apparence
LES BRIQUES DU CAPITOLE ® tranche
Poids
17 pièces - 150 grammes
Composition

Sucre, praliné 25,9% (sucre, AMANDES, NOISETTES), sirop de glucose, poudre d’AMANDES, arôme vanille

Traces possibles : sésame, fruit à coque, céréales contenant du gluten, sulfites, lait, œuf et soja 

20 avril 2024 : 

La Brique de Toulouse, autrement intitulée Brique du Capitole, est l’un des bonbons traditionnels emblématiques de la ville rose. Confiserie créée en 1951 par la très réputée maison Nougalet, qui conserver l’exclusivité de leur fabrication et qui en a déposé la marque semi-figurative en 1990, elle essaime et il est impossible de la manquer, tant, en sachet ou en ballotin, elle garnit les vitrines de quasi toutes les confiseries, pâtisseries et boutiques de souvenirs.

Minutieusement emballée dans un étui de papier à la couleur orangée, sur lequel le capitole est dessiné en filigrane, la petite brique, qui fait honneur à la brique rose de la ville, est ferme à la prise en main, d’un format rectangulaire, d’une couleur lumineuse nuancée entre l’ocre, le beige, le doré et l’ambre. Sa couverture est imperceptiblement translucide et striée de fines lignes, lesquelles sont encore plus visibles sur les tranches : réellement, on y découvre comme autant de couches feuilletées déposées les unes sur les autres pour obtenir ce splendide petit bonbon à la forme anguleuse. Attention, tenter de l’inciser au couteau n’est pas forcément la méthode adéquate pour en dévoiler le cœur : elle s’émiette et laisse échapper une très fine poudre blanche, laquelle atteste de la cristallisation du sucre et de la caramélisation du bonbon. Son odeur fleure bon la confiserie traditionnelle, le praliné sucré. 

Surtout, passées ces étapes réjouissantes de la découverte, il y a deux manières opposées d’en savourer le goût. La sucer – elle va fondre tout, tout doucement, le praliné déployant sa gourmandise avec lenteur. Ou la croquer franchement, mordre dedans pour relever son impétuosité, son croustillant, apprécier sa résistance sous l’étau de la mâchoire, lutter contre son sucre qui colle aux dents lorsqu’il s’émiette en minuscules éclats caramélisés et dorés. Une méthode plus expéditive, mais conseillée aux gourmands pour arriver au cœur du sujet : ce praliné l’ancienne, où amandes et noisettes donnent de la voix, enrobées d’un sucre malicieux, sublimées par ces couches feuilletées que l’on sent crisser en bouche, l’ensemble étant ponctué d’une pointe finale vanillée toute en subtilité. Pour un retour en force du sucre de confiserie en longueur. Comme une invitation – un ordre ? – à un jeu de déconstruction des briques, en croquant dans une deuxième, puis une troisième brique, et ainsi de suite…

Car on le sait tous, les gourmands sont de grands maçons. Pardon, de grands enfants ! 

N'hésitez pas à nous contacter pour toute
demande d'information ou de collaboration