11 février 2015 :
Certes, la boîte, dorée, légèrement kitsch, donnait envie. Quel monde inconnu se cache derrière le halva ? Quelle consistance, quel état (liquide, sirupeux, solide, etc.) ? Quelle odeur ? La curiosité est là, mais elle est déçue. Le halva ne dégage aucune odeur. Et il s’effrite, il s’effrite, il s’effrite, ce n’est donc pas un produit à tartiner mais un produit à consommer en miettes, comme on peut ; ceci étant, on s’y habitue assez vite et c’est finalement assez plaisant de le déguster par petite cuillérée, comme ça, au beau milieu de la journée. C’est à la fois sucré mais avec cet arrière-goût caractéristique d’arachide, de sésame plus exactement. Quant au cacao qui est censé l’aromatiser et bien certes il le tapisse dans la texture même d’une pâle couleur brune, mais cela s’arrête là : de goût de chocolat il n’en est point.