
2 février 2016 :
Passées ces secondes, malheureuses mais qui sont le lot de nombreuses marques, où il est nécessaire de touiller la pâte pour faire rentrer dans les rangs son huile, la consistance de la pâte est onctueuse, lisse, sa couleur est chaleureuse. Ses parfums sont profonds, marquants, sucrés. En bouche, la pâte est fondante, savoureuse, mais, comme souvent avec Mathilde, mais il ne s’agit que d’un avis personnel, trop sucrée et apportant une impression de lourdeur. La multiplication des ingrédients de la recette ne permet pas la libérer des arômes majeurs et présentés dans son intitulé : certes, la pâte est truffée d’éclats de biscuit, l’imagination faisant le reste pour deviner qu’il s’agit du fameux Speculoos, mais la cannelle est totalement indétectable. Reste le chocolat au lait. C’est déjà mieux que rien, surtout que ce produit, qui n’est plus en vente et introuvable, n’a trouvé ses amateurs que pour les fêtes de la fin d’année 2015…