Pâte à tartiner Lait Croustillante
Praliné (AMANDES, NOISETTES, sucre, huile d’AMANDE, lécithine de SOJA, arôme naturel de vanille), chocolat (masse de cacao, sucre, beurre de cacao, lécithine de SOJA, arôme naturel de vanille), biscuit (farine de BLÉ, sucre, huile végétale (tournesol, colza), matière grasse-sucre-protéines de LAIT, extrait de malt d’ORGE, lécithine de SOJA.
Allergènes : AMANDES, NOISETTES, SOJA, BLÉ, LAIT, ORGE
Pâte à tartiner Noir Croustillante
Praliné (AMANDES, NOISETTES, sucre, huile d’AMANDE, lécithine de SOJA, rome naturel de vanille), masse de cacao, arôme naturel de vanille), biscuit(farine, de BLÉ, sucre, huile végétale,(tournesol, colza), matière grasse-sucre-protéines de LAIT, extrait de malt d’ORGE, lécithine de SOJA.
Allergènes : AMANDES, NOISETTES, SOJA, BLÉ, LAIT, ORGE
14 décembre 2025 :
Ayant fait ses armes chez BOVETTI, Florent Lafaye créé dès 2013 sa propre chocolaterie, à quelques kilomètres, toujours en Dordogne. Ses produits sont clairement inspirés de son expérience passé mais présentent pour autant son petit coup de patte personnel. Avec l’objectif : celui du faire plaisir !
C’est le cas pour ses pâtes à tartiner !
Le format des pots, d’une part, est familial et généreux, l’invitation à de joyeux petits déjeuners et goûteurs, à de bonnes tartines et à de belles moustaches au chocolat pour les plus petits.
Les étiquettes sont graphiques, agréables sur le plan visuel, contemporaines avec cette petite malice signée du chocolatier : cette spatule qui vient fermer le pot et en garantir ainsi son intégrité. C’est fortiche côté marketing !
La pâte à tartiner chocolat au lait arbore une robe châtain clair, tandis que la pâte à tartiner chocolat noir est plus sombre. Logique. Leurs surfaces respectives sont lisses et satinées. Leurs parfums sont légèrement différents, la note lactée émoustillant le nez pour la première tandis que le chocolat viendrait le chatouiller pour la seconde. Dans les deux pots, c’est le petit frisson d’excitation : la petite cuillère craque une minuscule croûte qui produit un son jouissif à l’oreille, pour plonger dans une matière dense, resserrée, granuleuse et résistante, qui donne des envies de la travailler, de la sculpter. En bouche, le contraste de texture est réjouissant : du croustillant sous les dents puis du velouté, du fondant. Au palais, les deux pâtes livrent leurs saveurs respectives, lesquelles trouveront chacune leurs gourmands respectifs : aux becs sucrés férus de douceur et de chaleur, la pâte à tartiner au lait saura séduire par ses notes lactées, sucrées, bordées de notes de noisettes délicates et éphémères, pour un cacao à peine marqué. la pâte à tartiner chocolat noir pourra satisfaire les papilles dont les penchants vont vers un goût un peu plus percutant. Dans les deux cas, la crêpe dentelle et son croustillant sont l’atout principal des deux pâtes. En déglutition, les partitions respectives des pâtes trouvent leur harmonie, pour des longueurs similaires dans les deux cas.*
Des pâtes à déguster avec le sourire.