JULIEN DECHENAUD - Pâte à tartiner
Poids
220 grammes
Composition

Praliné, chocolat, lécithine de tournesol, cacao poudre

Praliné noisettes et amandes, glucose, sucre, vanille sel

Chocolat noir : pâte de cacao, sucre, lécithine de soja, beurre de cacao

Chocolat lait : pâte de cacao, poudre de lait, sucre, lécithine de soja, beurre de cacao

26 février 2018 :

Cette pâte à tartiner est signée par un jeune chocolatier formé auprès des plus grands, qui perpétue la tradition de la sobriété et de l’épure, à commencer par un logo graphique simple mais attractif : un « D » entouré par un fond bleu océan, tout simplement. Elle est à l’image de son artisan-créateur : naturelle par ses ingrédients, exigeante dans sa composition, généreuse en saveurs et sensations gustatives.

Sans rompre totalement avec le cadre et le caractère volontairement contemporain dans leur présentation des gammes de ganaches et de pralinés du chocolatier, la pâte se permet une légère incartade vers le rétro par son contenant : le bocal à l’ancienne, d’un verre épais, solide, doté du fameux joint de caoutchouc orange et du système de fermeture adéquat ; un choix judicieux pour attirer les plus gourmands et pour que l’âme d’enfant émerveillée se réveille. La transparence du bocal permet d’apprécier la très jolie couleur chocolat, parfaite : ni trop ombrée, ni trop claire, tirant presque sur le fauve, elle laisse deviner un dosage réfléchi et réussi des matières utilisées.

Le couvercle ouvert – son « clic » est magique à l’oreille, la pâte exhale, pour l’essentiel, avec lenteur et pondération, des effluves caractéristiques de noisette torréfiée, puis, dans un second temps, d’amande. Son parfum se diffuse au nez avec lenteur et pondération. Ce serait faire preuve d’un manque de noblesse que de dévoiler trop vite les trésors sensoriels à venir… !

La surface de la pâte est lisse, mate, sans reflets aucun, au point où l’on hésite même à y pointer le bout d’une cuillère, d’une spatule ou d’un mini couteau à beurre, pour ne pas en troubler la quiétude. Néanmoins, impossible de résister à l’appel trop longtemps… Sa texture est dense, concentrée, compacte, sa consistance manque de moelleux et d’onctuosité quoiqu’elle accepte de se laisser prélever par lichettes sans s’effriter ou se départir de son unité.

C’est en bouche que sa montée en puissance est irréversible, irrésistible et vertigineuse. Son croustillant est délicat et précieux, permettant l’envolée carrément fondante – enfin - du praliné au palais. La noisette et l’amande s’en donnent à cœur joie dans le spontané mais aussi en longueur.

Une pâte qui allie la densité, le croustillant, le fondant, sans abandonner au cours de son parcours ses arômes et saveurs, elle a tout d’une Grande !

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