Sucre, beurre de cacao, lait entier en poudre, pâte de cacao, raisins secs 6 % (raisins secs, huile végétale), canneberges 6 % (canneberges, sucre, huile végétale), biscuit 6% ( biscuit sablé farine – carbonate de calcium, fer, thiamine, niacine), sucre, graisse végétale non hydrogénée (huile de palme durable certifiée SG, huile de colza), sirop de sucre inverti, amidon de tapioca, sel, agents levants : bicarbonate de sodium, bicarbonate d’ammonium), émulsifiant E322 (lécithine de soja), arôme (vanille naturelle)
Le chocolat au lait contient des matières solides de cacao 33% minimum, des matières solides de lait 22 % minimum.
" A milk chocolatey mix of ravishing raisins and captivating cranberries with a biscuit bite" : Un slogan qui en jette !
14 novembre 2018 :
Le petit écureuil GNAW poursuit son voyage chocolaté. Son étape : un chocolat au lait gourmand, enrichi de plein de petits trucs en plus qui le font frétiller de la queue, remuer la truffe et affûter ses canines. Bon, ce ne sera pas le parfum de la tablette qui le fera saliver : il n’y en a pas, à moins d’inspirer très… très fort. Ce ne sera pas non plus par la consistance et la fermeté du chocolat : son épaisseur ne suffit pas à le protéger de la chaleur des doigts, il s’amollit un peu trop vite. Sa couleur est jolie, chatoyante, mais peut-être un chouia trop luisante. Mais ouf, le petit écureuil trouve son content en attaquant vivement la dégustation. La texture du chocolat fait enfin décoller ses papilles : elle est sableuse, presque crayeuse sans que cela soit rebutant, bien au contraire ; bref, biscuitée à souhait : une texture propice à se diluer plus qu’agréablement sur la langue et au palais.
Il ne faudra pas moins de trois dégustations pour envisager, après confrontation des sensations et mises en perspective des remarques de l’équipe, un avis relativement objectif. Pas de parfum, donc. Une épaisseur du chocolat sympathique mais qui pêche en fermeté, au point que les barres ne se cassent pas mais ont tendance à s’émietter et les carreaux à coller les uns aux autres. En revanche, en bouche, texture, gammes aromatiques et saveurs en rétro-olfaction sont chouettes : tous les sens sont, de l’attaque jusqu’en longueur de bouche, en passant par le milieu de la dégustation, avivés par l’impressionnante note de biscuit, la note très lactée du chocolat, le croquant d’un raisin sec au goût confit, pour terminer par la pointe acidulée, fraîche et revigorante de l’airelle. Ces impressions sont encore plus flagrantes lorsque, au lieu de grignoter petit bout par petit bout le chocolat, on mord à toutes canines dedans, on le malaxe à grands coups de mandibules et on laisse fondre la mixture ainsi créée. Tout l’art de l’équilibre entre la gourmandise un peu lourde à digérer et celle qui se fait légère.