Framboises 60 %, sucre, pectine, jus de citron concentré, arômes. Préparé avec 60 % de fruits
17 octobre 2017 :
Un Belge bien mystérieux s’invite dans la pâte !
Nos papilles sauront-elles percer le mystère de cet emblématique bonbon traditionnel belge qu’est le Cuberdon ? En tous les cas, et quelle que soit l’issue de cette quête, celle-ci fournit aux sens matière à épanouissement et délectation.
Car, outre l’attrait exercé par la confection d’une pâte à tartiner au cuberdon – on se demande bien comment ce dernier pourrait produire son effet magique d’un cœur fondant de framboise protégé par sa fine croûte de gomme arabique – le regard est, déjà, complètement séduit par l’esthétique du petit pot qui sert d’écrin à la pâte. Deux petites étiquettes sobres pour respecter la parité linguistique franco-flamande, dont la couleur blanche intensifie d’autant plus la couleur bien rouge du produit.
Dès l’ouverture du pot, les senteurs vivifiantes et toniques de la framboise embaument les narines, appuyées, discrètement acidulées. Face à cette échappée de sensations fruitées, la petite cuillère ne résiste pas et plonge immédiatement au cœur de la pâte. Au cœur de la framboise donc. Cuberdon, dévoile-toi !
Une texture liquide, proche de celle d’un sirop, qui fait entrer le produit dans la gamme des confitures plus que de la pâte à tartiner. Sa consistance est malicieusement et finement granuleuse, les grains des framboises accentuant des saveurs charnues et pulpeuses : les framboises, naturellement sucrées, giclent au palais et mettent tous les sens en émoi. Bien sûr, de Cuberdon pur et dur, point ; en revanche, les papilles distinguent nettement… un arôme de bonbon !
Une explosion de saveurs. Un florilège de sensations complètement régressives. Le ravissement est d’autant plus vrai que la tartine, bien épaisse, se prête à un étalage gourmand, généreux et exquis !
Cuberdon, qu’importe ton mystère, pourvu qu’on soit gourmand et gourmet !