COEUR DE CHOCOLAT PARIS - Pâte à tartiner
COEUR DE CHOCOLAT PARIS - Pâte à tartiner couvercle
COEUR DE CHOCOLAT PARIS - Pâte à tartiner texture
Poids
200 grammes
Composition

???? Le grand mystère

16 août 2022 :

Le mystère plane sur ce pot, sur sa provenance, sur sa conception, sur son chef/cuisinier/pâtissier/artisan/amateur/professionnel/femme/homme. 

On est intrigué par son double couvercle hermétique, le premier étant dévissable et le second perçable – attention, se munir d’une pointe de métal propre (bien sûr) en faisant attention au dérapage et à l’accident… Sitôt le couvercle dézingué, on en comprend mieux l’utilité côté garantie fraîcheur…

Le mystère plane aussi sur ce qu’il y a dans le pot. On tente le jeu de la devinette ?

A y regarder de plus près, en apparence, la matière ressemble à une crème brûlée dont le sucre a cristallisé et caramélisé au point de former une croûte en surface. Cette croûte craquelle avec délicatesse sous l’assaut de la petite cuillère, ce qui suscite l’impatience des papilles. La croûte est plutôt fine et dévoile une texture intérieure proche de celle d’une crème ou d’une mousse. En tous les cas, une consistance plutôt légère, aérienne.

Le parfum de cette pâte à tartiner est plutôt effacé mais laisse deviner en arrière nez des notes de lait ou de crème ainsi qu’une odeur de chocolat au lait.

La matière sous la croûte est onctueuse, moelleuse. Généreuse. Elle fond en bouche. Le contraste apporté entre cette douceur soyeuse et ce croustillant de surface décuple le plaisir de la dégustation. Au palais se déploie une ligne d’arômes bien sages, sucrés juste comme il faut : un goût d’enfance (de lait concentré) arrondi par la saveur du chocolat au lait. Un goût de reviens-y.

Pour peu qu’on ait laissé la pâte au réfrigérateur, en l’absence de toute indication sur sa conservation, sa fraîcheur apporte un côté nature et champêtre aux papilles.

Le plaisir régressif de faire craquer la surface, de l’émietter et de la faire croustiller sous les dents en la mélangeant à cette crème veloutée de chocolat au lait… ! Miam.

La finale et la longueur prolongent la retombée en enfance.

L’équation comporte beaucoup d’inconnue mais un mystère au moins est levé : c’est succulent !

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