CHOCOLATERIE MARY - Confit de chocolat
Poids
250 grammes
Composition

Chocolat noir (masse de cacao, sucre, beurre de cacao, émulsifiant : lécithine de soja, arôme naturel de vanille. Cacao 60, 1% minimum), beurre concentré (lait)

25 avril 2019 :

Fournisseur breveté de la cour de Belgique

Qui a dit que le chocolat belge ne se limite qu’à ces divines pralines, ces exquises ganaches, ces bouchées, ces chocolats fourrés, toujours lactés, crémeux et généreux ?

La Chocolaterie Mary, dont l’histoire commence en 1919 puis lie son destin et sa réputation à la famille royale en en devenant l’un des fournisseurs attitrés depuis 1942, vient fournir une belle preuve de l’ouverture du chocolat belge à d’autres horizons plus racés, plus « noirs » en cacao, plus impétueux !

Le rendez-vous goûteux s’annonce sous les meilleurs auspices, la chocolaterie ayant fait le choix du pot hexagonal, généreux dans son dressage (250 grammes), estampillé d’une étiquette de fond blanc raffinée, cerclée d’un fin liseré d’or, suffisamment étroite pour permettre au regard de plonger avec intérêt dans une pâte à la couleur bien brune. Le parfum se fait d’abord timide, sitôt le pot ouvert, mais se révèle équilibré et pourvoyeur d’une très bonne odeur d’un chocolat de qualité, ourlée de sa note sucrée. De quoi animer les papilles. La surface de la pâte est mate, quelques reflets viennent la satiner un peu. Sa texture et sa consistance sont délicieusement ambiguës : compactes, denses, épaisses, elle sont pourtant sans trop de résistance face à une petite cuillère qui se régale de devoir insister un peu pour se plonger dans la pâte. En attaque de bouche, le chocolat est dominant en arômes et en intensité ; il est modéré par une note clairement lactée et épaulé par une adjonction parcimonieuse de sucre. Les saveurs, à la fois corsées et suaves, sont accentuées par un fondant irrésistible, d’autant plus craquant sur une tartine encore tiède après passage au grille-pain. Le palais prend alors la pleine mesure de la différence existante entre une pâte à tartiner et un confit : tout est dans la variation de la structure de la pâte sitôt en bouche et tout est accompli par une longueur de goût qui révèle la puissance du cacao utilisé. Ce confit répond tout simplement, et avec raffinement, à la définition même du confit.

Pour l’intensité en texture et en saveurs, tout est donc dit. Une question reste désormais à poser – mais aura-t-on jamais de réponse ? – c’est : le confit de chocolat a-t-il « généré un amoureux converti » parmi les membres de la famille royale belge ?*

*citation tirée de la présentation de la marque sur le site ?

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