Sucre, Amandes, Noisettes, chocolat au lait (sucre, lait entier en poudre, pâte de cacao, beurre de cacao, lactose, émulsifiant : lécithine de soja, extrait de vanille), chocolat noir (sucre, pâte de cacao, beurre de cacao, cacao maigre en poudre, émulsifiant : lécithine de tournesol, extrait de vanille)
Peut contenir des traces d’autres fruits à coque, arachides
2 février 2025 :
Déjà, il y a deux camps parmi les gourmands qui profitent des périodes des fêtes pour retrouver leurs gourmandises attitrées : ceux qui aiment les escargots pralinés, ceux qui leur préfèrent d’autres choses.
Ensuite, parmi ceux qui aiment les escargots praliné, il y a ceux qui se fichent un peu de la qualité du praliné qui fourre la coque de l’escargot tant que celle-ci est croquante, sucrée, chocolaté et lactée, et eux qui, un peu plus éveillés des papilles, exploreront l’univers du praliné qui vient servir de farce à leur escargot festif. Attention, tous les pralinés ne se valent pas.
Enfin, il y a ceux qui n’aiment rien tant que de tester des choses un peu inédites alors pourquoi ne pas tenter l’escargot à tartiner ? !!!
Surtout quand il vient de Bourgogne, quand on connait la réputation de l’escargot de Bourgogne. Et surtout quand il s’agit de saluer l’effort conséquent réalisé par les nouveaux propriétaires de la chocolaterie de Bourgogne® (dite aussi Chocolaterie des Ducs de Bourgogne®) pour la faire renaître de ses cendres depuis sa liquidation en 2021.
Pour la dégustation proprement dite, elle peut, elle aussi, se décliner en deux : une dégustation à température ambiante et une dégustation à température tiédie, pour des ressentis visuels, olfactifs et visuels différents. Si la robe reste celle d’une châtaigne, la surface de la pâte est mate et granuleuse d’un côté, et prend de la luisance de l’autre. Côté olfactif, son parfum de chocolat sucré et lacté est plus incisif lorsque la pâte est réchauffée. Côté tactile, certaines petites cuillères pencheront pour cette densité et cette résistance d’une matière dont la consistance est épaisse et peu onctueuse sans aller jusqu’à être à couper au couteau (difficilement tartinable à moins d’un support mou et non cassant) ou pour un velouté et un moelleux fourni par son réchauffage.
Côté gustatif, les deux dégustations se rejoignent : entame sucrée (trop), praliné classique mais sans spécificité, note lactée importante, pour terminer sur un reflux sucré en fin de bouche. L’escargot en goût, mais pas forcément le meilleur côté praliné…