Praliné (noisettes du Piémont, sucre, sirop de glucose), chocolat lait (beurre de cacao, poudre de lait entier et écrémé, masse de cacao, émulsifiant : lécithine de soja), pâte de noisettes, lactosérum en poudre, lactose, arôme naturel de vanille et caramel.
Présence possible de fruits à coque (amandes, noix, noix de pécan, pistaches).
Besoin de réconfort, d’une pause cocooning, d’un gros câlin ? La Pralinette vous ouvre son pot et vous prodigue toute sa tendresse et sa douceur.
Sa couleur est d’un beige clair chatoyant. Son parfum prononcé de noisettes est une caresse olfactive à en soupirer d’aise. Sa surface satinée aguiche l’œil et fait frémir la petite cuillère d’impatience, laquelle ne peut se retenir de plonger dans un bain de velours, crémeux, onctueux, d’une épaisseur et d’un moelleux affolants. La matière est enveloppante et d’une souplesse propice à la tartine généreuse. En bouche, la pâte à tartiner charme la langue, les papilles (re)tombent dans la magie de l’enfance : le chocolat au lait vient enrober une noisette à la dois docile et rebelle, pour un praliné voluptueux. Le palais se tapisse d’arômes sucrés, noisettés, lactés, presque beurrés en allonge, et gourmands. Le truc irrésistible.
La Pralinette est la digne héritière, dans toutes ses composantes, des pralinés à tartiner d’un grand-maître (si ce n’est le seul) du genre, Pascal Caffet, auprès duquel Florent Sourice, originaire de la même région, s’est d’ailleurs formé.