
Dragees mit alkoholisher Füllung 10 %, umhüllt von Schokolade 9 % und milchschokolade 59 %
Zucker, Kakaobutter, Vollmichpulver, Kakaomasse, Süβmolkenpulver, Rum 4%, Kokosrapel 4%, Hafermark, Aromen, Emulgator : Sojalecithin, überzugsmittel : Gummi arabicum, Schellack, Glukose-Fruktosesirup, Gelatine, Weizenstärke
23 mars 2019 :
Laissons de côté les quelques informations, essentielles mais non traduites, qui permettent de savoir ce que l’on croque, ce que l’on suce, ce que l’on teste, ce que l’on déguste : ces bonbons ne sont pas vendus en France. On dira juste que ces petites boulettes sont très chouettes à regarder. Bien rondes, bien lisses, bien brillantes, recouvertes qu’elles sont de chocolat au lait, elles s’entrechoquent dans leur pot et donnent carrément envie de jouer aux billes. Elles ont un petit côté frustrant par leur taille, on a beau se dire « allez, je n’en prends que deux », on se retrouve facilement avec quatre ou cinq exemplaires dans le creux de la main. Elles sont fermes, elles ne s’amollissent pas sous la chaleur de la peau. Hop, à chacune son tour en bouche pour des sensations en ballottage ; globalement, elles tournent à l’avantage d’un produit pourtant industriel. Les petites boules sont croquantes, claquantes. Sitôt broyées, elles laissent exploser un rhum corsé, dont le liquide est agressif et noie littéralement sous son intensité le goût de la noix de coco. Pour autant, ce n’est pas désagréable au palais, même si cela manque de nuance. En longueur de bouche, ces bonbons plairont à tous deux qui aiment les chocolatés imprégnés de liqueur.