BALTHAZAR CHOCOLATERIE - La Goule Benaeze
BALTHAZAR CHOCOLATERIE - La Goule Benaeze
BALTHAZAR CHOCOLATERIE - La Goule Benaeze
Poids
165 grammes
Composition

Noisettes du Piémont IGP  53 %, sucre de canne, cacao… et rien d’autre !

1er mars 2020 :

Pâte à tartiner aux noisettes du Piémont IGP broyées à la meule de pierre

Ce qui caractérise les deux artisans de la Chocolaterie Balthazar, implantée à Dinard, c’est cette envie manifeste d’échanger, de faire partager et de procurer du plaisir sans tromperie aucune. Leurs créations sont artisanales, transcendées par des ingrédients de haute qualité, sans adjonction de quoi que ce soit. Alors forcément, on comprend mieux que la maison soit multi-récompensée et que sa notoriété franchit désormais dépasser les frontières de sa ville et région d’origine !

Impossible de résister à l’appel de cette pâte à tartiner, lancée en 2018 mais découverte durant le Salon du Chocolat de Paris édition 2019, et dont le nom invite irrésistiblement à un voyage dans le temps – celui des contes et des chansons du terroir de Saintonges. La Goule Benaeze rend hommage à Evariste Poitevin, un barde, poète et chansonnier de la région. Autant dire que sa petite musique carillonne d’impatience qu’elle a sans doute à cœur d’en raconter, des histoires…

Son étiquette, sur papier texturé, cumule élégance tactile et simplicité visuelle : la poignée de noisettes cette envie bien malicieuse de jouer avec. On imagine leur petit cliquetis lorsqu’elles s’entrechoquent entre elles dans la paume de la main.

Sa couleur bien chocolatée est envoûtante. Elle donne envie de plonger très vite dans un bain de réconfort.

Son parfum est saisissant. Intense et d’une profondeur incroyable. De la noisette, rien que de la noisette ! Une odeur sèche et torréfiée qui jaillit du pot, qui éclabousse les narines, qui s’infiltre, qui se propage. Un tir de longue portée – on sent la pâte sans avoir besoin d’y mette le bout de nez - à faire plus que saliver.

La Goule Benaeze étant 100% naturelle, il convient, alors que les sens sont toujours sous le coup de l’émotion olfactive, de la touiller avec un poignet énergique pour que l’huile des noisettes, remontée à la surface, réintègre sa place et joue son rôle : éviter à la pâte le desséchement… Elle prend alors une tournure très souple, une texture souple et élastique, une consistance liquide, proche de celle d’une sauce qui est une troublante invitation à la régression : la déguster telle quelle, à la petite cuillère voire carrément à y mettre un doigt.

La sapidité de la pâte est… addictive ! La Goule Benaeze a du cœur, du corps et de la générosité. Une plongée assumée et sans culpabilité dans le monde du soyeux et du fondant. Sans culpabilité. Le sucre de canne, qui s’arroge une place peut-être trop prononcée,  fraie néanmoins un chemin bien tracé à l’arôme légèrement grillé des noisettes. Avec ce petit délice inattendu de fin de pot : cette mince couche de pâte, encore épaisse, non diluée, que l’on malaxe avec grande jouissance en bouche. Et pour ne pas en perdre une miette, on finit la dégustation et le pot par son nettoyage complet avec les doigts. 

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